Les jeunes du mouvement qui mène la contestation contre le pouvoir au Mali ont réitéré, dimanche 26 juillet, à Bamako leur appel à la démission du président Ibrahim Boubacar Keïta et à la reprise des manifestations après le 3 août, à quelques heures d’un sommet régional sur la crise politique dans ce pays.
Cet appel a été lancé samedi lors d’une assemblée générale (AG) des jeunes du Mouvement du 5 juin, dit M5, une coalition hétéroclite de chefs religieux et politiques et de membres de la société civile.